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Non-Prolifération

30 millions d’euros

C’est la contribution totale de la France au budget de l’AIEA en 2013. Cette contribution se décompose comme suit :
 20.849 millions d’euros de contribution au budget ordinaire
 5 millions d’euros de contributions volontaires
 4.2 millions de contributions aux autres budgets (coopération technique, etc)
La France est le 5ème plus gros contributeur au budget de l’AIEA.

5 millions d’euros

La France a apporté à l’AIEA des contributions volontaires (financières, mise à disposition d’experts à titre gracieux, et en nature) estimées en 2013 à plus de 5 millions d’euros dans le cadre du Programme Français de Soutien aux Garanties (PFSG), du fonds de sécurité nucléaire, de programmes liés aux applications pacifiques de l’énergie nucléaire, etc.

6%

C’est environ la part de la contribution obligatoire de la France au budget de l’AIEA.

25 millions d’euros

C’est le montant de la participation de l’Union européenne à la création de la banque d’uranium faiblement enrichi sous l’égide de l’AIEA.

333

C’est le nombre d’inspections relatives au contrôle international des matières nucléaires effectuées en 2012 sur les installations françaises dans le cadre du traité Euratom et de l’AIEA, correspondant à 1472 hommes.jours d’inspection.

22 résolutions du Conseil de sécurité

Condamnant la prolifération nucléaire depuis 2004, toutes votées par la France.

100 États

La France a donné des assurances négatives de sécurité à près d’une centaine d’États dans le cadre des protocoles aux traités créant des zones exemptes d’armes nucléaires.

184

Missions d’inspection de l’IRSN relatives au contrôle national des matières nucléaires dans les installations soumises à autorisation en 2011 (152 en 2010).

500 fonctionnaires de l’État formés depuis 10 ans

La France va contribuer à une formation de haut niveau des États membres de l’UE conformément aux nouveaux axes d’actions de l’UE en matière de lutte contre la prolifération des ADM et de leurs vecteurs.

100 000 euros

C’est la participation de la France au fonds du Bureau du désarmement des Nations unies pour le financement du comité 1540, dans le cadre de la participation de l’Union européenne en 2006 et 2008 (L’UE a adopté deux actions communes de 475 000€ et 175 000€ respectivement en 2008 et 2006, soit un total de 650 000€).

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